L’exil est rond
Pablo Neruda, Chants libre d’Amérique latine
Un cercle, un anneau :
tes pieds en font le tour,
tu traverses la terre,
Et ce n’est pas ta terre
Le jour s’éveille et
Ce n’est pas le tien,
la nuit arrive :
Il manque tes étoiles
Tu te trouves des frères,
Mais ce n’est pas ton sang.
Beau poème mais que je trouve un peu sombre.
Quel désespoir pour tous ces migrants qui rejoignent les côtes d’Italie.
Enfin, c’est ce qui me vient à l’esprit mais je ne suis pas philosophe.
Les événements ont rendu ce poème d’actualité,
inutile d’être philosophe, pour comprendre l’Horreur.